Charlotte Casiraghi poursuit son chemin dans le monde littéraire. Férue de lecture et passionnée de philosophie, la fille de la princesse Caroline de Hanovre signe son premier livre intitulé « La fêlure », qui paraîtra au début de l’année 2026 chez Julliard.
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Le premier livre de Charlotte Casiraghi paraîtra au début de l’année 2026
Dans son concept « Les Rendez-vous littéraires rue Cambon », créé pour Chanel, Charlotte Casiraghi, 39 ans, y anime des podcasts et y fait ses recommandations littéraires. En quelques années, la nièce du prince souverain Albert II de Monaco est devenue la représentante numéro un de la littérature et de la philosophie sur le Rocher. Elle y a d’ailleurs fondé les « Rencontres philosophiques de Monaco ».
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À Madame Le Figaro, Charlotte s’était confiée en 2024 à propos de sa passion pour la lecture. Selon elle, la littérature « se doit d’être critique vis-à-vis de notre époque, en montrant ses contradictions » et « elle permet d’accéder à une plus grande compréhension de la complexité de l’humanité ». De la lecture à l’écriture, il restait un pas à franchir pour la fille de la princesse Caroline, elle-même considérée comme le visage de la culture au sein de la famille princière. La princesse Caroline est d’ailleurs en charge de remettre annuellement les distinctions de l’ordre du Mérite culturel. Avec sa fille Charlotte, elles remettent aussi les Prix Prince Pierre de Monaco qui récompensent des créateurs en littérature, art contemporain et musique.
En 2018, Charlotte Casiraghi, 12e dans l’ordre de succession au trône monégasque, avait déjà cosigné avec le philosophe Robert Maggiori « Archipel des passions », un recueil de discussions autour de la question du sensible. Le 29 janvier 2026 paraîtra le premier livre entièrement écrit par Charlotte. Son premier ouvrage, « La fêlure », est une suite de réflexions littéraires, philosophiques et sensibles de Charlotte, à partir d’une célèbre nouvelle de Francis Scott Fitzgerald et à travers les œuvres d’écrivaines qui l’inspirent. Il n’y a pas de doute que ce livre trouvera rapidement sa place dans la toute nouvelle médiathèque portant le nom de la princesse Caroline et inaugurée il y a quelques jours à Monaco, en présence de Charlotte.
« La Fêlure interroge cette ligne de fuite qui en nous menace et nous offre peut-être dans le même mouvement la chance la plus élevée, c’est-à-dire de saisir un peu de ce qui nous traverse lorsque nous vivons », peut-on lire en quatrième de couverture. « Ce livre n’est pas un traité, ni un récit, encore moins une confession. Il faudrait plutôt le voir comme une traversée, une série de variations sur un même thème, la ritournelle par laquelle se rejoue sans cesse une idée fixe : quelque chose de nous est cassé ; tant mieux », ajoute l’éditeur Julliard.
