La princesse Maria de Roumanie a assisté à la 9e édition du concert de charité de l’association Concordia, qui œuvre à la réinsertion des jeunes par l’éducation et l’apprentissage d’un métier. L’événement s’est déroulé au Théâtre Odéon de Bucarest ce mercredi soir.
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La princesse Maria assiste au 9e concert de charité de Concordia
La princesse Maria de Roumanie, cinquième fille du roi Michel 1er de Roumanie, s’est rendue au Théâtre Odéon de Bucarest ce 15 octobre 2025. La princesse Maria a assisté à la 9e édition du concert de charité de l’association non gouvernementale Concordia. Le concert intitulé « Pour que les histoires tristes aient une fin heureuse ! » a pour but de récolter des fonds pour l’association.
Cela fait dix ans que la famille royale soutient Concordia, par le haut patronage de la princesse Maria. L’association soutient les enfants et les familles en difficulté pour mener une vie autonome et responsable. Les fonds récoltés cette année serviront principalement à soutenir 150 enfants issus de familles vulnérables, qui fréquentent l’un des centres de jour de l’association. Environ 2000 personnes bénéficient d’un soutien de l’association chaque année, que ce soit en recevant un soutien éducatif, des conseils, des repas chauds ou en participant à des activités visant à réduire le décrochage scolaire.
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Une soirée pour soutenir l’éducation des enfants
La princesse Maria a notamment pris la parole durant la soirée. La chanteuse Theo Rose, l’artiste autrichien Avin Ahmadi, des enfants des programmes Concordia, ainsi que le pianiste Daniel Dumitrașcu et bien d’autres artistes ont participé au concert. La princesse Maria était accompagnée de l’ambassadrice d’Autriche à Bucarest, Ulla Krauss-Nussbaumer, lors de cette soirée.
« Derrière chaque statistique se cache un enfant porteur d’un rêve. Quand 100 enfants abandonnent l’école chaque jour, qu’un enfant sur dix se couche le ventre vide et que plus d’un tiers des enfants roumains vivent dans la pauvreté, nous ne pouvons plus considérer les chiffres comme de simples données, mais comme des réalités dramatiques », a déclaré Diana Certan, directrice générale de Concordia. « Chez Concordia, nous transformons ces statistiques en réussites : des enfants qui restent à l’école et des familles qui trouvent du soutien. Pour que chaque centre de jour reste ouvert, nous avons besoin de 300 000 euros par an – un investissement qui promet un avenir à des centaines d’enfants. Grâce à notre engagement à tous, nous offrons plus qu’un simple soutien : nous pouvons changer cette cruelle réalité et briser le cycle de la pauvreté intergénérationnelle. »
