Ce 16 octobre, la reine Letizia était à Rome pour la Journée mondiale de l’alimentation. De nombreuses personnalités politiques italiennes et internationales ont participé à une célébration au siège de l’Organisation des Nations unies. Cet événement a permis à la reine Letizia de rencontrer le pape Léon XIV.
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La reine Letizia participe au 80e anniversaire de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO)
En 2015, la reine Letizia a été nommée ambassadrice spéciale pour la nutrition pour le compte de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Cette nomination est une reconnaissance pour le travail de la reine d’Espagne « en faveur d’un monde libéré de la faim et de la malnutrition et des efforts déployés par l’Espagne pour promouvoir la sécurité alimentaire et nutritionnelle au plan mondial ».
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Ce 16 octobre, à l’occasion de la Journée mondiale de l’alimentation, la reine Letizia s’est rendue à Rome, où était organisé le 80e anniversaire de la FAO. De nombreux politiciens italiens et étrangers étaient conviés à cette cérémonie d’anniversaire, dont la première ministre Giorgia Meloni, le vice-premier ministre italien Antonio Tajani, le roi Letsie III du Lesotho, le président uruguayen Yamandú Orsi, la princesse Basma de Jordanie, et l’ancien secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon.
Au cours de la cérémonie, plusieurs invités ont pris la parole, y compris le pape Léon XIV, qui assistait à l’événement. Avant la cérémonie, la reine Letizia a pu rencontrer le souverain pontife. Le roi Felipe VI et la reine Letizia avaient assisté à la cérémonie d’installation du pape Léon XIV au mois de mai, usant alors de son privilège du blanc réservé aux souveraines catholiques.
Dans son discours, la reine Letizia a demandé « de remercier toutes les personnes qui, au cours de ces 80 années, ont permis à la FAO de rester une autorité technique et de jouir d’une légitimité politique. Elles ont également préservé cet élan fondateur qui continue de nous guider, afin que nous puissions nous concentrer sur une idée essentielle, facile à formuler, mais difficile à concrétiser : essayer, continuer d’essayer, d’améliorer la situation de plus de 600 millions de personnes qui n’ont rien à manger – même pas aujourd’hui, le 16 octobre – et que près de 2,3, 2,6, 3 milliards de personnes, les chiffres varient, n’ont pas les moyens de se nourrir sainement. »
