La princesse Margriet et son époux, le professeur Pieter van Vollenhoven, devaient s’envoler prochainement pour le Canada. La tante du roi Willem-Alexander a choisi d’annuler son voyage et ne pourra pas représenter les Pays-Bas aux commémorations du 80e anniversaire de la libération, en raison de sa récente fracture au bras dont elle n’est pas encore remise.
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La tante du roi Willem-Alexander n’est pas encore remise de sa fracture et annule son voyage au Canada
Le 23 mars dernier, la princesse Margriet des Pays-Bas, 82 ans, est tombée sur la glace, alors qu’elle participait à une course caritative de patinage, organisée par son fils, le prince Bernhard. Emmenée d’urgence à l’hôpital, les scanners ont montré que la sœur de l’ancienne souveraine Beatrix s’était fracturé le bras gauche.
Depuis lors, la princesse Margriet, d’habitude active et travaillant à temps plein pour la Couronne, s’est ménagée. Elle devait faire son grand retour sur la scène publique au Canada, assurant un voyage de représentation du 9 au 12 mai à Toronto et Ottawa. Malheureusement, la Maison royale a annoncé ce mardi 29 avril que ce « voyage est désormais considéré comme irresponsable » si elle souhaite se rétablir rapidement.
La princesse Margriet devait assister à différentes célébrations et événements liés au 80e anniversaire de la libération du Canada. Depuis toujours, la princesse Margriet est la personne désignée au sein de la famille royale des Pays-Bas pour assurer les engagements de représentation liés au Canada. La princesse Margriet, troisième fille de la reine Juliana, est née en 1943 à Ottawa, là où la famille royale s’était installée durant la guerre. La princesse Margriet n’a posé les pieds sur le sol néerlandais qu’en 1945.
En 2022, la princesse Margriet et son époux s’étaient rendus au Canada pour assister aux événements du 75e anniversaire de la libération, qui avaient été organisés deux ans plus tard en raison de la pandémie de 2020. Elle avait notamment planté des tulipes à Stornoway, la maison qui a abrité la famille royale pendant la Seconde Guerre mondiale et qui sert aujourd’hui de résidence officielle au chef de l’opposition parlementaire.
