Le roi Felipe VI et la reine Letizia sont arrivés en Égypte ce mardi 16 septembre. Avant d’entamer le programme de leur visite d’État, les souverains ont invité les expatriés espagnols à les rencontrer à l’hôtel St. Regis du Caire.
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Le roi Felipe VI et la reine Letizia rencontrent 300 citoyens espagnols installés en Égypte
Le roi Felipe VI, 57 ans, et la reine Letizia d’Espagne, 52 ans, ont quitté Madrid ce mardi 16 septembre dans l’après-midi, accompagnés jusqu’à l’aéroport par une délégation ministérielle et par le président du Sénat. Les souverains ont atterri quelques heures plus tard à l’aéroport du Caire, accueillis par le vice-premier ministre et ministre de la Santé et de la Population, Khaled Abdelghaffar, dès leur sortie d’avion. Le roi Felipe et la reine Letizia sont arrivés en Égypte la veille de leur visite d’État auprès du président Al-Sissi.
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Du 16 au 19 septembre, les souverains espagnols visiteront l’Égypte, accompagnés du ministre des Affaires étrangères espagnol. Leur voyage les amènera au Caire et à Louxor. Afin de débuter leur programme dès le matin, le roi et la reine d’Espagne sont arrivés la veille. Felipe et Letizia ont aussi pour habitude de rencontrer les expatriés espagnols lorsqu’ils se déplacent à l’étranger. Ces rencontres n’ont pas pour habitude d’être organisées dans le programme officiel de la visite d’État, qui est plutôt consacré à la découverte du pays.
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C’est donc dès leur arrivée au Caire que le roi et la reine ont été conduits à l’hôtel St Regis du Caire, où ils ont pu rencontrer des Espagnols vivant en Égypte. Environ 300 citoyens de nationalité espagnole ont accepté l’invitation et ont pu échanger avec les souverains à propos de leur vie dans le pays. Selon la Maison royale, environ 1000 personnes ayant la nationalité espagnole vivent en Égypte et la moitié d’entre elles ont la binationalité espagnole et égyptienne.
Face à ses compatriotes, le roi Felipe a prononcé quelques mots. « L’Espagne et l’Égypte partagent un désir auquel nous sommes fermement attachés : une coexistence pacifique, un dialogue et une réconciliation au Moyen-Orient qui permettront enfin un environnement stable pour le développement des peuples dans la dignité et la justice. Pour l’instant, cela semble une utopie, mais cela doit être possible, et nous devons tous contribuer à le rendre possible . »
