Le grand-duc Henri de Luxembourg a visité le site de Karelshaff, en bon voisin. Sur ce terrain, situé non loin du château de Colmar-Berg, se poursuit le chantier Wandpark Nordenergie de l’entreprise Soler, qui y installe ses éoliennes.
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Visite du grand-duc Henri en bon voisin sur le chantier du parc éolien de Soler
Soler, une joint-venture entre SEO et Enovos, exploite actuellement plusieurs centrales hydroélectriques et éoliennes dans différentes régions du Luxembourg. Avec ses différents parcs, ce sont déjà 73 000 ménages qui sont alimentés en énergie verte et ce sont 292 000 personnes qui utilisent de l’énergie provenant des éoliennes de Soler.
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D’autres projets sont en phase de développement, notamment sur le site Karelshaff, situé à Colmar-Berg. Ce jeudi 11 avril, le grand-duc Henri s’est rendu sur le chantier, en bon voisin. Le projet Wandpark Nordenergie « s’appuie sur une démarche participative impliquant les communes à proximité ainsi que leurs citoyens », explique la Maison du Grand-Duc. Le château de Colmar-Berg, où résident le grand-duc Henri et son épouse, la grande-duchesse Maria Teresa, se trouve à moins de 3 kilomètres du site.
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Le grand-duc Henri était accompagné du ministre de l’Économie, des PME et de l’Énergie, Lex Delles, lors de cette visite. Les dirigeants de Soler et les responsables du projet ont fait visiter le chantier au chef de l’État et au ministre. Le grand-duc Henri a vu les plans et les projections, ce qui lui a permis de réaliser l’ampleur des travaux qui restaient à effectuer. Ce parc devrait permettre de couvrir les besoins en électricité de 7400 personnes.
Le grand-duc Henri a découvert la logistique complexe liée à ce type d’ouvrage. « Il s’agit d’analyser et d’anticiper de nombreux défis du terrain : impact sur la population, protection de la faune et de la flore, transport sur site des pales d’une longueur de 70 mètres, recyclage en fin de vie… », énumère la Maison du Grand-Duc. « L’énergie éolienne est un outil majeur pour atteindre les objectifs européens pour 2030. Au Luxembourg, pour respecter ces objectifs, 37 % de la consommation électrique finale doit être issue d’énergies renouvelables », explique Soler.