Le grand-duc Henri et la grande-duchesse Maria Teresa de Luxembourg se sont rendus au Cercle artistique de Luxembourg ce mercredi 12 mars 2025 pour visiter l’exposition « Rebirth ». Cette exposition anticipe le retour des beaux jours, en réunissant des œuvres d’artistes variés autour de la thématique de la renaissance, du cycle de la vie et du printemps.
Le couple grand-ducal a effectué une visite artistique de pré-printemps
La curatrice Nathalie Lesure a réuni des œuvres d’artistes issus de divers domaines des arts visuels autour du thème de la renaissance. L’exposition « Rebirth » est à visiter jusqu’au 16 mars 2025 au Cercle artistique de Luxembourg (CAL). Le grand-duc Henri et la grande-duchesse Maria Teresa se sont rendus au CAL, dans la Ville-Haute de Luxembourg, ce mercredi 12 mars pour visiter l’exposition, qui regroupe des œuvres de diverses techniques, de différentes tendances et courants esthétiques.



Qualité artistique, recherche, innovation et originalité ont été les critères qui ont guidé Nathalie Lesure dans le choix des œuvres. Le retour des beaux jours est un cycle naturel pouvant faire penser à une transformation ou encore à une mort et à une renaissance, « rebirth » en anglais. « L’art contemporain, reflet de son époque, se confronte à un rythme effréné de changements sociétaux, culturels, écologiques et technologiques. Comment les artistes traduisent-ils ces bouleversements et proposent-ils des visions alternatives pour le futur ? », s’interroge le CAL.



Le grand-duc Henri et la grande-duchesse Maria Teresa ont été guidés à travers l’exposition en s’interrogeant sur les différents bouleversements sociétaux et culturels qui ont inspiré les artistes. « La renaissance peut prendre la forme d’une évolution identitaire après une phase d’introspection, d’une guérison physique, d’un nouveau chapitre de vie, de cycles biologiques ou encore d’une réinvention créative », explique le CAL. « Ainsi, la mutation au fil du temps incarne un potentiel de vastes interprétations artistiques. Plutôt que de viser un résultat défini, ces changements invitent à un langage plastique libre et expressif. »