Le prince Carl Philip de Suède et son épouse, la princesse Sofia, ont passé deux journées dédiée à la dyslexie à New York. Le fils du roi de Suède accorde beaucoup d’importance à ce trouble de l’apprentissage et participe à de nombreux événements liés à cette thématique, tout au long de l’année.
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Carl Philip et Sofia de Suède retrouvent Beatrice d’York à l’Assemblée mondiale de la dyslexie à New York
Le prince Carl Philip, 43 ans, et la princesse Sofia, 38 ans, se sont envolés pour New York. La princesse connaît parfaitement la ville où elle a vécu pendant plusieurs années. Avant d’épouser le fils du roi Carl XVI Gustaf et de la reine Silvia, Sofia Hellqvist a été mannequin, candidate de téléréalité, puis professeur de yoga à New York.
Le couple a assisté ce lundi 3 avril à l’Assemblée mondiale sur la dyslexie; au Lincoln Center. Sur place, le prince Carl Philip et la princesse Sofia ont participé à plusieurs conférences et tables rondes sur la dyslexie. Moins d’une semaine auparavant, Carl Philip et Sofia avaient déjà participé à un événement sur la même thématique, organisé par leur fondation au Palais royal de Stockholm.
En 2022, cette même Assemblée mondiale de la dyslexie avait eu lieu à Stockholm. Le prince Carl Philip était l’hôte d’honneur de cette assemblée. Il avait notamment accueilli la princesse Beatrice, fille du duc d’York, qui elle aussi suit de près tout ce qui touche à la dyslexie. À New York, Carl Philip et Sofia ont à nouveau croisé Beatrice. La nièce du roi Charles III et le prince Carl Philip sont tous les deux dyslexiques.
En marge de l’assemblée, le couple a effectué une visite dans une école new-yorkaise. Le prince et la princesse ont rencontré des élèves. Ils ont échangé avec le corps professoral et ont concentré leur visite sur les méthodes mises en place pour s’occuper des enfants dyslexiques.
Mardi, toujours dans le cadre de l’assemblée, le couple a participé à une table ronde. La Fondation du couple princier était co-organisatrice de l’événement. La table ronde avait pour thème « Quel potentiel y a-t-il à laisser les différences devenir la norme ? »
