La reine Margrethe continue à valoriser la présence de la princesse Marie au sein de la famille royale danoise, représentant la France au Danemark et inversement, à l’instar de ce que le défunt prince consort Henri avait pu faire de son temps. La princesse Marie a décroché un nouveau poste à l’ambassade de Danemark à Paris.
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La princesse Marie travaillera à l’ambassade de Danemark à Paris
La princesse Marie a été nommée représentante culturelle spéciale au sein du département culturel de l’ambassade de Danemark à Paris. Son époux, le prince Joachim, deuxième fils de la reine Margrethe II, travaille déjà à l’ambassade depuis un an. Il a été nommé attaché de la Défense danoise à Paris, après un an de formation militaire complémentaire dispensée en France.
Le prince consort Henri était d’origine française. La reine Margrtehe II a toujours valorisé cette double appartenance culturelle. La reine elle-même parle le français et est francophile. Lorsque la princesse Marie, née Marie Cavallier, est entrée dans la famille royale danoise, la reine Margrethe II a laissé la liberté à sa belle-fille de continuer à mettre en avant son pays d’origine. La princesse Marie accorde sont patronage à la Maison des étudiants danois à Paris, elle a travaillé pour Alliance Française et pour le comité du Souvenir Français.
Dorénavant, la princesse Marie pourra aller travailler avec son époux, travaillant tous les deux à l’ambassade de Danemark à Paris. La princesse Marie accorde son patronage à des causes comme l’éducation, la promotion culturelle, la culture et le gaspillage alimentaire.
«Je suis à la fois fière et honorée d’avoir cette opportunité», a déclaré la princesse Marie. «La description de la tâche s’inscrit dans la voie menée ces dernières années sur la coopération entre les acteurs danois et français, et ma famille et moi-même sommes maintenant bien installés à Paris, c’est donc un timing parfait. C’est donc tout naturellement que j’ai saisi l’opportunité. Dans mon nouveau rôle, j’ai hâte de continuer à m’occuper des intérêts danois – en particulier dans le domaine de la culture – dans les années à venir.»
