La reine Mathilde de Belgique s’est rendue à l’Institut Jules Bordet, établissement médical qui occupe des nouveaux bâtiments à Anderlecht depuis près de deux ans. La visite de la reine des Belges se déroulait dans le cadre du lancement du mois d’octobre consacré à la lutte contre le cancer du sein.
Lire aussi : La reine Mathilde rencontre les futurs grands noms de la musique à la Musica Mundi School de Waterloo
La reine Mathilde visite les nouveaux bâtiments de l’Institut Jules Bordet
La reine Mathilde, 50 ans, a visité l’Institut Jules Bordet, à Anderlecht, un hôpital universitaire qui occupe de nouveaux bâtiments et qui est entièrement consacré aux soins, diagnostics et recherche dans la lutte contre le cancer. La reine Mathilde a effectué cette visite le lundi 2 octobre 2023, à l’occasion du début du mois consacré habituellement à différentes initiatives de sensibilisation et de lutte contre le cancer du sein.
Lire aussi : L’archiduc Karl d’Autriche opéré d’un cancer de la prostate
Lors de cette visite, la reine Mathilde était entourée des autorités locales. Elle a visité la clinique de jour, « où elle y a rencontré les patients, et le service de médecine nucléaire », explique le Palais royal. La reine a pu apprendre comment depuis le déménagement du centre en 2021, il est devenu la pièce centrale d’un cancéropôle unique en Belgique.
Lire aussi : La princesse héritière Victoria devient marraine du Ruban rose
La reine Mathilde découvre l’utilisation de la médecine nucléaire
« Alors que les progrès réalisés par la médecine ont permis d’améliorer considérablement le pronostic et la prise en charge des patientes du cancer du sein, certaines formes de cancer du sein restent compliquées à traiter : le dépistage et la recherche restent donc essentiels pour en venir à bout », continue le Palais.

Patrick Flamen, le chef du service nucléaire de l’Institut Bordet a abordé les dernières avancées en matière de traitement du cancer, notamment l’évolution de la médecine nucléaire. « La médecine nucléaire comprend deux volets : d’abord le diagnostic, au moyen de l’imagerie moléculaire, qui va nous permettre de visualiser les caractéristiques moléculaires des cancers ; et la thérapie, un nouveau volet, qui va traiter certaines tumeurs selon leurs caractéristiques visualisées lors du diagnostic », explique Patrick Flamen, dont les propos ont été repris par BX1.