La reine Máxima des Pays-Bas a rencontré la ministre des Affaires étrangères d’Afrique du Sud, Naledi Pandor, pour parler de l’inclusion financière et numérique. La reine des Pays-Bas a été nommée avocate spéciale du Secrétaire général des Nations Unies pour la finance inclusive pour le développement (UNSGSA).
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La reine et la ministre parlent d’inclusion financière
La reine Máxima aime reprendre des discussions sur la finance, lui rappelant son ancien travail à New-York, avant de rejoindre la famille royale néerlandaise. Pour ses connaissances dans le domaine, elle a été nommée avocate spéciale du Secrétaire général des Nations Unies pour la finance inclusive pour le développement (UNSGSA). Elle est aussi présidente honoraire du Partenariat mondial du G20 pour l’inclusion financière (GPFI).
En ces qualités, la reine a reçu en audience au palais Huis ten Bosch, la ministre des Affaires étrangères d’Afrique du Sud, Naledi Pandor. Durant cet échange, la reine a fait suite à la conversation qu’elle a eue avec le président sud-africain par visioconférence plus tôt cette année.
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Prenant son rôle d’avocate des Nations-Unis très à cœur, l’épouse du chef d’État néerlandais s’est notamment engagée à rendre les services financiers accessibles à tous dans le monde et à offrir aux gens de meilleures opportunités de développement économique et social. Cela s’applique en particulier aux groupes à faible revenu. En tant que présidente d’honneur du GPFI, la reine Máxima s’engage à promouvoir les activités du G20 dans le domaine de l’inclusion financière.
La reine Máxima et la ministre Pandor s’était déjà rencontrées il y a quelques semaines au G20 à Rome. La conversation du jour portait sur le rôle que l’Afrique du Sud peut jouer dans la promotion de l’inclusion financière numérique des femmes sur le continent africain. «Les biens publics tels que les cartes d’identité numériques, de bonnes connexions de télécommunications, la cybersécurité et l’infrastructure physique sont importants pour un accès et une utilisation abordables et sécurisés des services financiers», explique le Service d’information du gouvernement. Les services financiers numériques peuvent également jouer un rôle important dans la reprise économique après la pandémie de coronavirus.