Le prince Louis de Luxembourg poursuit son travail au sein de la fondation de ses parents. La semaine dernière, la Fondation du Grand-Duc et de la Grande-Duchesse a participé à une réunion avec OKaJu afin d’échanger sur les enjeux des droits des enfants.
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La protection et le bien-être des enfants au cœur des discussions entre OKaJu et la Fondation du Grand-Duc et de la Grande-Duchesse
Le prince Louis de Luxembourg, 37 ans, a intégré l’année dernière le conseil d’administration de la Fondation du Grand-Duc et de la Grande-Duchesse. Le prince Louis, troisième fils du couple grand-ducal, est impliqué dans les questions des troubles de l’apprentissage.
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Le prince Louis, lui-même dyslexique, a pour ambition de développer l’axe de l’apprentissage au sein de la fondation de ses parents dont les deux missions principales sont l’inclusion sociale et les activités humanitaires auprès des populations défavorisées.
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La semaine dernière, le prince Louis a rencontré les représentant de l’Ombudsman fir Kanner a Jugendlecher (OKaJu). OKaJu est une institution indépendante qui a été fondée par la loi du 1er avril 2020 et qui agit en tant qu’ombudsman pour la jeunesse. Un ombudsman est un médiateur qui agit au profit de la population. Dans le cas d’OKaJu sa mission est d’interférer auprès des institutions luxembourgeoises pour s’assurer que la Convention internationale relative aux droits de l’enfant soit respectée.
Les discussions entre la Fondation grand-ducale, représentée par le prince Louis, et OKaJu ont mis en lumière les quatre principes fondamentaux sur lesquels reposent leurs missions, à savoir la non-discrimination, l’intérêt supérieur de l’enfant, le droit de vivre, survivre et se développer, et enfin, le respect des opinions de l’enfant.
