Ce 1er septembre 2024, le grand-duc Henri et la grande-duchesse Maria Teresa de Luxembourg ont poursuivi leurs visites à Venise. Dans ce cadre romantique, les souverains luxembourgeois ont posé sur les canaux, devant les plus beaux palais de la Sérénissime. Le couple grand-ducal avait consacré son dimanche à l’art, en visitant le pavillon luxembourgeois de la Biennale.
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Le grand-duc Henri et la grande-duchesse Maria Teresa profitent d’un dimanche artistique à Venise
Au printemps 2024, le grand-duc héritier Guillaume et la grande-duchesse héritière Stéphanie s’étaient rendus à Venise avec leurs deux enfants. Il s’agissait de la première visite des deux fils de l’héritier du trône à Venise et du premier voyage des jeunes princes dans un cadre officiel. Le couple héritier avait visité la Biennale et avait inauguré le pavillon luxembourgeois. Ce 1er septembre, ce fut au tour du grand-duc Henri et de la grande-duchesse Maria Teresa de marcher dans les traces de leur fils aîné.
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Le grand-duc Henri et la grande-duchesse Maria Teresa sont à Venise depuis trois jours, principalement dans le cadre de la Mostra, le célèbre festival du film. En marge du festival, les souverains assistent à divers engagements liés à la production audiovisuelle luxembourgeoise qui est mise en avant cette année dans le marché du film organisé en parallèle.
Ce dimanche, le grand-duc Henri et la grande-duchesse Maria Teresa avaient mis de côté leurs préoccupations cinématographiques et s’étaient octroyés quelques heures consacrées à l’art contemporain. Les souverains ne pouvaient pas quitter la Cité des Doges sans avoir visité la Biennale, et en particulier le pavillon luxembourgeois inauguré quelques mois plus tôt par le fils et leur belle-fille.
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Les souverains visitent le pavillon luxembourgeois de la Biennale de Venise
Le pavillon principal de la Biennale est installé aux Giardini de Venise. Le pavillon luxembourgeois est intitulé « A Comparative Dialogue Act ». Il est le fruit de la collaboration entre le musicien luxembourgeois Andrea Mancini et le collectif de design Every Island. Joel Valabrega du MUDAM (Mudam Luxembourg – Musée d’Art Moderne Grand-Duc Jean) est curateur du pavillon.
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Le pavillon est abordé « comme un espace de production et d’expérimentation, ouvert à des invitations à d’autres artistes », explique le MUDAM. « Le son est ici envisagé pour sa capacité à fonctionner comme un espace commun tout autant qu’à créer des interférences, des contaminations et des superpositions. »
Une atmosphère de vacances planait autour des souverains, qui vont peu à peu alléger leur agenda. Au mois d’octobre, le grand-duc Henri nommera son fils Guillaume lieutenant-représentant, ce qui lui permettra de remplacer son père dans nombreuses de ses fonctions. Le grand-duc Henri va peu à peu s’effacer jusqu’au moment où il passera définitivement la main en choisissant d’abdiquer.
