On vous l’annonçait plus tôt dans la semaine, il a été décidé d’annuler la réception du mariage de la princesse Beatrice et de son futur époux, le comte italien Edoardo Mapelli Mozzi. La réception devait avoir lieu le 29 mai prochain, dans les Jardins du palais de Buckingham, la reine Elizabeth ayant donné l’autorisation exceptionnelle à sa petite-fille d’occuper les lieux pour sa fête. Suite à la pandémie de coronavirus, Buckingham avait annoncé il y a quelques jours que la réception était annulée mais que le mariage aurait bien lieu. Il se pourrait à présent que même le mariage religieux soit vraiment menacé. Hier, l’Église d’Angleterre a publié de nouvelles mesures concernant l’organisation des mariages. Ceux devront être célébrés en présence de 5 personnes maximum !
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5 personnes sinon rien !
La princesse Beatrice n’a décidé pas de chance avec son mariage. L’annonce des fiançailles était ternie par le scandale de l’affaire Epstein qui a contraint son père, le duc d’York de se retirer temporairement de la vie publique. Ensuite, s’en est suivie une quête non sans difficulté pour trouver un lieu qui puisse accueillir le mariage. Finalement, en janvier 2020, on annonçait officiellement que le mariage aurait lieu le 29 mai, qu’il serait célébré à la chapelle royale St James et que la réception aurait lieu à Buckingham.
La princesse Beatrice se contentera-t-elle d’un mariage sans invités ?
Plus tôt dans la semaine, on apprenait que la réception était annulée. Enfin, à présent, il semblerait plus que probable que le mariage soit tout simplement reporté. Hier, l’Église d’Angleterre a décidé de célébrer les mariages en un comité restreint de 5 personnes. Il s’agit du nombre minimal de personnes pour qu’un mariage soit valide. Dans ces 5 personnes est inclus le prêtre ou l’officiant, les deux mariés et les deux témoins. Cela veut dire que ni les parents des mariés ne sont acceptés ni aucun autre invité. « Peu importe les mesures prises, l’amour et la bénédiction de Dieu seront toujours présents autour de ceux qui seront là ce jour-là », tente de rassurer David Walker, évêque de Manchester.
Source : ITV
