Ce 19 janvier 2022, le prince William et Catherine Middleton se sont rendus au Foundling Museum, un musée qui retrace l’histoire du Foundling Hospital, la première organisation caritative pour enfants du Royaume-Uni fondée en 1739. Le duc et la duchesse de Cambridge ont notamment participé à une séance de thérapie avec des jeunes qui bénéficie de l’aide d’une programme de réinsertion après avoir souffert de troubles liés à la santé mentale.
Les problèmes de santé mentale chez les jeunes au centre des préoccupations du couple
La duchesse de Cambridge accorde son patronage au Foundling Museum depuis 2019. C’est donc tout naturellement qu’elle a choisi de rendre une visite au musée pour son tout premier engagement public de l’année. Kate Middleton était accompagnée de son époux.

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La duchesse de Cambridge, qui a créé l’année dernière son Centre pour la petite enfance, et le prince William, se sont entretenus avec des responsables d’associations qui viennent en aide aux jeunes qui rencontrent des problèmes de santé mentale.
Today were were proud to take part in a discussion with The Duke and Duchess of Cambridge, @KensingtonRoyal, to shine a spotlight on the conversation around young people leaving care, sharing views and insights on the current landscape in the UK. pic.twitter.com/6i2l8o1q1n
— Foundling Museum (@FoundlingMuseum) January 19, 2022
Thank you @krissakabusi, Allan, and @lemnsissay also for joining and sharing your experiences of living in care. It’s so great to see the successes you’ve had. pic.twitter.com/nmkpMdgQHA
— The Duke and Duchess of Cambridge (@KensingtonRoyal) January 19, 2022
« C’est agréable d’être de retour au Musée et de voir comment ils continuent d’aider à transformer la vie des jeunes, mais aussi d’entendre certaines des difficultés auxquelles les sortants de soins ont été confrontés au fil des ans, y compris pendant la pandémie », ont déclaré le duc et la duchesse de Cambridge après la visite. Le programme de réinsertion est également mis en place et offre un emploi rémunéré et de précieuses compétences pour s’en sortir.
« Nous avons pu comprendre de l’impact du temps que l’on passe à être soigné et ses liens avec l’emploi, le logement, la santé mentale, la toxicomanie et le système de justice pour les jeunes, ainsi qu’une partie du travail effectué pour résoudre ces problèmes.»