La princesse héritière Kiko du Japon a consacré sa journée du 25 avril 2023 à la tuberculose. La belle-sœur de l’empereur Naruhito s’intéresse fortement au traitement de cette maladie. Elle a assisté à un cours donné sur le sujet dans un lycée de Kiyose, puis elle a visité un laboratoire pharmaceutique.
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Une journée consacrée à la tuberculose à Kiyose
Le 25 avril 2023, la princesse héritière Kiko d’Akishino, 56 ans, a visité un lycée à Kiyose, dans la préfecture de Tokyo. L’épouse de l’héritier présomptif du trône a consacré sa journée à la thématique de la tuberculose, en tant que président de l’Association de prévention de la tuberculose.
Dans ce lycée, les étudiants assistaient à un cours d’éthique, durant lequel étaient organisées des activités pédagogiques sur le traitement de la tuberculose. Mainichi rapporte que la princesse héritière Kiko a montré son intérêt en posant des questions aux adolescents qui répondaient à un quiz sur les mesures sanitaires prises par la ville concernant le traitement de la tuberculose.
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La tuberculose est une maladie infectieuse, causée par une bactérie, qui touche la plupart du temps les poumons. La maladie est l’une des causes de mortalité d’origine infectieuse les plus importantes au monde. Les pays asiatiques sont ceux où on recense le nombre de morts de tuberculeux les plus importants.
Visite d’un laboratoire fabriquant le vaccin BCG
Après la visite de l’école, la princesse héritière Kiko a visité le laboratoire de l’Institut japonais de recherche du Japan BCG Manufacturing. Ce laboratoire fabrique le vaccin BCG pour prévenir la tuberculose. Lors de sa visite, Kiko a écouté attentivement les explications sur le vaccin. Le vaccin BCG atténue mais n’empêche pas l’infection. Cependant, le vaccin protège contre les formes graves de la maladie.
En 1931, l’hôpital préfectoral de Kiyose a ouvert ses portes en tant que premier sanatorium antituberculeux, alors que Kiyose n’était à l’époque qu’un petit village. Depuis lors, les sanatoriums de la tuberculose et les instituts de recherche se sont multipliés. En avril de l’année dernière, Kiko avait déjà visité l’un des sanatoriums de la ville ainsi que le musée de Kiyose qui consacrait une exposition sur le sujet.
