Durek Verrett, gourou des stars et beau-fils du roi Harald V de Norvège, a fait une rare déclaration concernant son état de santé, lui qui a fait un rejet d’une greffe de rein il y a quelques années. L’époux de la princesse Märtha Louise a parlé du combat qu’il mène pour survivre, après s’être félicité des sanctions qui ont été décidées à l’encontre d’un magazine norvégien qui violait fréquemment son droit à la vie privée.
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Durek Verrett se félicite des sanctions à l’encontre du magazine norvégien qui s’en prenait à lui depuis des années
Depuis que la relation entre la princesse Märtha Louise de Norvège, fille du roi Harald V et de la reine Sonja, et le gourou américain Durek Verrett a été rendue publique en 2019, le couple subit de nombreuses critiques et un certain harcèlement de la part de la presse norvégienne. Un magazine en particulier, Se og Hør, a intensifié ses révélations – vraies ou fausses – au cours des années 2023 et 2024, alors que le couple préparait son mariage. « J’ai été dépeint d’une manière qui a profondément nui à ma santé, à mon caractère, à ma réputation, à mon entreprise et aux personnes que j’aime, ma famille et mes amis », déplore le chaman californien.
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La princesse Märtha Louise, 53 ans, 4e dans l’ordre de succession au trône de Norvège, a finalement épousé le chaman Durek, 50 ans, le 31 août 2024, en présence de leurs amis et de la famille royale de Norvège au complet. Le roi Harald a donné son consentement à sa fille, malgré les diverses polémiques qui concernent son nouveau gendre. Outre les différentes accusations d’arnaque et les polémiques concernant les activités professionnelles que mène Durek, les accusations portées par Se og Hør, en octobre 2024 sont les plus graves. Le magazine avait recueilli le témoignage de Joakim Boström, un ancien collaborateur suédois du gourou qui l’accuse de viol. Durek Verrett a toujours démenti les accusations.
Ce 28 mars, Shaman Durek a publié un long message sur ses réseaux sociaux : « Aujourd’hui, après des mois d’examen, le Comité professionnel de la presse norvégienne (PFU) a officiellement jugé que Se og Hør avait violé l’éthique de la presse – à deux reprises », s’est réjoui le beau-fils du Roi. La première infraction concerne la publication d’une photo privée montrant Shaman Durek nu. Le magazine argumentait que cette photo avait déjà été déjà rendue publique. « Ce n’était pas le cas. Elle a été volée et vendue par une personne en qui j’avais confiance », explique le gourou des stars.
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L’époux de la princesse Märtha Louise parle de son combat pour survivre
La deuxième infraction concerne l’histoire du viol, « une fausse allégation d’abus en se basant entièrement sur Joakim Boström comme source, sans preuve, sans témoins, sans vérification des faits ». Shaman Durek continue à clamer son innocenc. « Soyons clairs : Je n’ai jamais agressé qui que ce soit. Y compris mon manager suédois de l’époque, Joakim Boström. L’accusation était fausse, malveillante et stratégiquement orchestrée pour me blesser, moi et mes proches. »
La mère de Durek et l’une de ses sœurs ont beaucoup parlé dans la presse, avant et après le mariage. « Des mensonges ont été proférés par des membres déshonorés de ma famille, d’anciens partenaires, d’anciens amis et un guide bien-être devenu un opportuniste avide de médias. Des personnes animées de vengeances personnelles et d’un intérêt personnel. Se og Hør leur a tendu un mégaphone », explique le mari de la princesse.
Enfin, Durek s’est épanché sur la douleur et l’anxiété que toutes ces rumeurs ont pu avoir sur son moral et sa santé. Il rappelle qu’il a perdu sa greffe de rein, il y a quelques années et qu’il doit subir une dialyse trois fois par semaine « juste pour survivre. Ces attaques n’ont pas seulement été douloureuses émotionnellement. Elles ont rendu ce combat plus difficile. » Il se dit « aux côtés » des « véritables survivants d’abus » dont certains, comme l’a fait le magazine norvégien pour lui, ont profité de leur douleur. « C’est dangereux et honteux. Je crois en une presse libre, mais je crois encore plus à la vérité, à la responsabilité et à l’éthique. Le journalisme doit servir le public, et non le manipuler », conclut le chaman.
