Depuis quelques temps, la duchesse de Sussex est la cible des critiques et des rumeurs, parfois insistantes de la presse. Le prince Harry a fait savoir qu’il avait peur que Meghan et Archie finissent comme sa mère. La duchesse elle-même s’est récemment confiée à un journaliste, déplorant le fait que personne ne lui avait jamais demandé si elle allait bien durant sa grossesse. La pression médiatique et la pression du public qui accablent le couple sont telles que le prince Harry et Meghan songent s’installer à Los Angeles. Ce qui est sûr, c’est que les Sussex prennent 6 semaines de vacances dès la mi-novembre pour décompresser. Un groupe de femmes politiques concernées par le traitement injuste de la presse envers Meghan a décidé de monter au créneau et de lui apporter son soutien.
Des femmes politiques envoient leur soutien à Meghan Markle
La députée Hally Lynch, du parti travailliste, a publié sur son compte Twitter la lettre ouverte qu’elle et ses collègues ont écrite. Cette lettre est signée par 72 députées de tous bords. «Députées de tous les partis politiques, nous avons mis de côté nos différences pour nous montrer solidaires avec la duchesse de Sussex aujourd’hui et lui envoyons cette lettre ouverte ».
72 députées britanniques ont envoyé une lettre ouverte à Meghan Markle pour lui signifier leur soutien face à la couverture médiatique qui l'accablehttps://t.co/29LbtV4ZJY
— Histoires Royales (@ActusRoyales) October 30, 2019
Les députées de toutes les bords politiques ont exprimé leur soutien en s’adressant directement à Meghan : « Nous voulions exprimer notre solidarité, en nous positionnant à l’encontre des histoires dégoûtantes et trompeuses, imprimées dans un grand nombre de journaux nationaux vous concernant, vous, votre personnalité et votre famille. À plusieurs occasions, les articles et les titres à la une se sont avérés être une intrusion dans votre vie privée et ont cherché à calomnier votre personnalité, sans aucune raison valable, pour autant qu’on le sache. Encore plus inquiétant, on fait ressortir des choses qu’on pourrait décrire comme obsolètes, aux relents coloniaux, dans certains de ces articles. En tant que Membres du parlement féminins, de tous les milieux, nous sommes à vos côtés pour dire qu’on ne peut pas laisser passer cela sans rien dire. »