Ce 3 janvier 2021, la princesse Carla de Bulgarie fêtait son 52e anniversaire en petit comité, entourée des siens. L’épouse du prince Kubrat a partagé des photos de son anniversaire sur les réseaux sociaux.
Anniversaire en petit comité pour la princesse de Panagyurichté
C’est entourée de ses fils et de son époux que la princesse Carla a soufflé sur ses bougies ce 3 janvier. Des bougies formant un « 52 » ont été allumées sur son gâteau. La belle-fille du tsar Siméon II semble comblée sur ces photos de famille, elle qui a décidé de concentrer ses activités actuelles sur la fabrication de masques de protection homologués.
« Un an de plus ou un an de moins, cela dépend de la façon dont vous le voyez », a écrit la princesse Carla en légende de ses photos partagées sur Instagram. « L’important est de continuer à profiter et à vivre et à aimer la famille, les amis, la vie que nous avons. Merci à la vie qui me donne tant », écrit la princesse de Panagyurichté avec l’optimisme qui la caractérise.
Carla Royo-Villanova y Urrestarazu est née le 3 janvier 1969. Elle a épousé son coup de foudre d’adolescente, le prince Kubrat, troisième fils de l’ancien roi Siméon II de Bulgarie. Le prince Kubrat, prince de Panagyurichte est un brillant médecin, spécialisé dans la chirurgie du tube gastrique. Kubrat et Carla sont les parents de trois enfants, le prince Mirko, le prince Lukás et le prince Tirso, 25, 23 et 18 ans. Le prince Mirko a terminé ses études de médecine et marche dans les traces de son père. Rapatrié du Vénézuela au début de la crise sanitaire, il a ensuite travaillé d’arrache-pied en Espagne pendant la pandémie. Le prince Lukás suit son frère et son père, puisqu’il a rejoint l’université de médecine récemment.
Il y a quelques jours, la princesse Carla tournait la page d’une grande aventure en prenant la lourde décision de fermer son entreprise. Tombée amoureuse des roses de Bulgarie en découvrant le pays d’origine de son époux, elle avait crée une marque de cosmétiques à l’eau de rose de Damas. Fin de l’année, elle apprenait également la mort de sa grand-mère, une notable de Bilbao qui dirigeait une célèbre pâtisserie de la ville.